Pour faire un résumé différent de la 4e de couverture, je dirais que le roman, met en scène un monde hostile dans lequel l’humanité a su trouver sa place, principalement dans des forteresses éparpillées sur le globe. Un royaume domine outrageusement les autres grâce à la domination de son armée et de ses mages.
Un cataclysme va bouleverser cet équilibre et introduire une nouvelle puissance dans le jeu, un être au pouvoir démesuré. Il semble poursuivre ses propres buts mais va interférer dans trois histoires sur Enclavia : celle d’un elfe, un mage et un stratège militaire. Ces trois personnages a priori sans lien, portent tous leur part d’ombre, et vont être mis à rude épreuve dans leurs quêtes respectives.
Bref, à la réflexion, la 4e de couverture est mieux ! La voici :
Enclavia vit son apocalypse. Ce monde est impitoyablement frappé par des rayons célestes. Les doit-on à de nouveaux dieux ? Sont-ils liés à l’apparition du Guerrier, cet être surnaturel qui prend la vie des hommes comme on fauche les blés ? Aujourd’hui Merlin, descendant de l’illustre mage, semble le seul à pouvoir mettre un terme à ces catastrophes. Son histoire s’entrechoquera avec celle de Filéas, le voleur elfe, et celle de Promptus, le stratège commandant des armées d’Escarith.
Mais sur ces destins croisés, une autre ombre plane. Un mage noir dont l’identité, les machinations, voire même l’existence, sont incertaines. Est-il réel ? Ou Lorussia l’a-t-elle opportunément imaginé, pour couvrir un meurtre politique ?
Vivez leur aventure, assistez aux luttes pour le pouvoir et découvrez à leurs côtés, la véritable origine de l’humanité.